Vendredi 20 octobre 2006 à 20h30.
El Hadj N’Diaye : chant
Moriba Koïta : n’goni (guitare malienne)
Prabhu Edouard : tablas (percussions indiennes)
Loy Ehrlich : gumbri (basse des Gnawa)
Le Sénégal, qui a produit certaines des plus grandes voix africaines, fait un nouveau cadeau au monde. Les chansons d’El Hadj N’Diaye révèlent sa profonde connaissance des souffrances que les exclus endurent en Afrique.
Son écriture brûle d’un feu littéraire dont même ceux qui ne comprennent pas la langue wolof percevront le caractère passionné et sensible. Du plus tendre murmure au cri d’angoisse viscéral, la voix d’El Hadj N’Diaye suscite une véritable émotion. À de nombreuses reprises, la teneur de ses textes engagés l’a confronté à l’hostilité et la censure de son pays.
Grand Prix du disque de l’Académie Charles Cros en 2001.
« Une belle voix posée articulée […] Sur scène, le positionnement radical, l’absence d’effet de mode, sa voix implacable font de lui un oiseau rare » Le Monde de La Musique
Nom : Guillaume
Date : 2006-10-21 16:20:45
Impressionnant! Une musique africaine, bien sûr, assez spirituelle, méditative, mais de la présence humaine, pas une fuite du réel. Des thèmes humanistes (quand on saisit le français au milieu du wolof) porté dans une ambiance assez cosmoplite (accompagnement d\'un malien et de son ... + tablas et musicien indien + un européen avec une basse super spéciale - j\'ai pas non plus retenu le nom - )
Note :Nom : Noraini
Date : 2014-11-26 15:31:16
bonjourj\'habite e0 warang au se9ne9gal j\'ai du temps libre une vourtie et je voudrais rejoindre une association oeuvrant pour la protection des animaux et de la naturepeut eatre en connaissez vous ?bien cordialementsophie
Note :Nom : Jalia
Date : 2016-08-19 09:42:45
Et quelle est le rapport entre Ingrid Betancourt, l&Ãrnuo;héros¯qe de cette histoire, et l’héroïne qui ravage les veines des drogués ? (pas celle les ravisseurs de la précédente, qui font plutôt dans la cocaïne)
Note :